Un communiqué du ministère de l’Éducation Nationale du 17 mars 2017 alerte sur le danger du Blue Whale

Dans la catégorie des jeux dangereux de défis, le jeu « Blue Whale », venu de Russie, du nom du mystère des baleines bleues qui viennent s’échouer volontairement sur les plages, connaît une notoriété certaine sur les réseaux sociaux.
Ce jeu consiste à entrer par parrainage, dans une spirale de 50 défis de risque croissant dont l’ultime étape est le suicide.
Tous les membres de la communauté éducative doivent adopter la plus grande vigilance face à ce jeu qui peut attirer des jeunes vulnérables, en pleine construction de leur identité, face à la pression du groupe.
Il faut rappeler qu’en plus d’une prise en charge du mal-être du jeune par son entourage, ce challenge morbide relève de la provocation au suicide et de ce fait est pénalement réprimé (5 ans de prison et 75 000 euros d’amende).

Lire le communiqué sur le site Eduscol

Françoise Cochet, présidente de l’APEAS, sur le plateau des Matinales sur CNEWS le 27 mars 2017

 

En complément :

Article du MONDE du 15 mars 2017 :
Le « jeu » suicidaire, né sur un réseau social russe, consiste à relever cinquante défis des plus sordides.
Consulter l’article sur le site lemonde.fr

Émission Azur Matin d’avril 2018 sur FRANCE BLEU à propos du décès d’un jeune de Menton.

 


MOMO Challenge

Le « Momo challenge » met en scène un personnage virtuel machiavélique et propose de relever des défis pendant 50 jours via l’application Whatsapp.
Un gage par jour, le dernier étant le suicide !

Un député LREM alerte le ministère de l’Intérieur sur les risques du Momo Challenge, lire cette information publiée le 30 août 2018 sur BFM TV

Première victime présumée du Momo Challenge en France

Des policiers font de la prévention

MOMO, VRAI OU FAUX CHALLENGE ?
Le 28 février 2019 un article du journal britannique THE GUARDIAN dénonce la "Fake News" Momo Challenge. Le journal précise que ce challenge n'a jamais existé.
Lire l'article complet sur le sujet publié dans l'édition DU MONDE du 5 mars 2019