2ème COLLOQUE INTERNATIONAL AU BRÉSIL
L’institut Dimicuida a réussi son pari : faire reculer la méconnaissance des jeux dangereux et s’approprier les bonnes méthodes de prévention auprès des responsables, professionnels et parents. Le second Colloque de l’institut Dimicuida les 6 et 7 octobre 2016 a été fréquenté. Près de 500 personnes ont assisté aux ateliers conduits par Judy ROGG (Erick’s cause), Mike BLEAK, Amy BLEAK des USA, Françoise COCHET (APEAS), les docteurs Dr. Almir SANTANA, Alessandra BORELLI, présidente da Nethics la chercheure Juliana GUILHERI, les psychologues Fabiana VASCONCELOS e Daniel FRANCO… du Brésil. L’évènement a des répercutions au-delà de l’Etat du Ceara pour gagner le niveau national. Consulter le Blog : https://www.facebook.com/dimicuida
LA PREVENTION DANS LES ECOLES : UNE METHODE APPLIQUEE ET LES DANGERS D’INTERNET.
La prévention dans les écoles, c’est possible ?
Comment gérer les dangers d’internet ?
Des centaines d’enfants et de jeunes sont victimes, parfois de forme fatale, de pratiques vécues comme des ‘jeux’ qui interrompent le flux d’oxygène vers le cerveau. Les données d’enquêtes au Brésil indiquent que les pratiques ont augmenté de forme exponentielle amenant le décès des jeunes.
Le programme de Erik’s cause (USA) inscrit une perspective éducative dans le cadre des neurosciences insistant sur le fait de rendre les jeunes conscients de leurs choix à travers l’exposition des risques et les séquelles de la pratique. Les statistiques montrent que le nombre de pratiques des jeux de non-oxygénation diminue lorsque le modèle de prévention est implanté dans les écoles. Le 6 octobre, la directrice de la Fondation Erik’s Cause, l’américaine Judy Rogg présentera très précisément les modalités du modèle de prévention développé dans les écoles de l’UTAH (USA). L’avocate Alessandra Borelli, directrice de Nethics au Brasil, fera une conférence sur la vulnérabilité des jeunes face aux usages de l’internet.
PREVENTION ET PRATIQUES D’URGENCE DANS LE CAS DE JEUX DE NON OXYGENATION
Entraînez-vous pour secourir
Des centaines d’enfants et de jeunes sont victimes, parfois de forme fatale, de pratiques comprises comme des ‘jeux’ qui interrompent le flux d’oxygène vers le cerveau. Les données d’enquêtes au Brésil indiquent que les pratiques ont augmenté de forme exponentielle amenant le décès des jeunes.
Des médecins, infirmiers et auxiliaires d’infirmerie ont un rôle fondamental dans la détection des symptômes et la reconnaissance du cadre clinique qui signale cette pratique.
L’après-midi 6 Octobre, l’infirmière américaine Amy Bleak, spécialiste de l’enfance et de l’adolescence dans l’Utah (USA), fera une conférence sur l’identification des symptômes chez les enfants et les jeunes qui arrivent en situation clinique aux services des urgences.
L’USAGE DE L’AUTOPSIE PSYCHOLOGIQUE POUR ANALYSER LES CAS DE DECES ACCIDENTEL PAR ASPHYXIE
Pratiques de non oxygénation ou suicides ?
Des centaines d’enfants et de jeunes sont victimes, parfois de forme fatale, de pratiques comprises comme des ‘jeux’ qui interrompent le flux d’oxygène vers le cerveau. Les données d’enquêtes au Brésil indiquent que les pratiques ont augmenté de forme exponentielle amenant le décès des jeunes.
Ces cas sont identifiés de façon erronée comme suicides. L’identification de ces pratiques grâce à des méthodes (mécanismes) de sécurité est un facteur de prévention, car les jeunes viennent à reconnaître les risques réels de mort. Les enquêteurs, la police judiciaire, les pompiers militaires et des civils doivent intégrer ces pratiques parmi les critères de la cause du décès accidentel par asphyxie et celui par le suicide.
Le détective américain Mike Bleak, diplômé par le Conseil américain de recherche médico-légal en Utah (USA) donnera une conférence sur les différences distinguant le décès accidentel et le suicide par les organismes de police.
La Professeure Fatima Santos de l’université PUC Campinas présentera cet outil comme un moyen utile pour les investigations policières.
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